Armae

La grande pyramide de Gizeh, les Jardins suspendus de Babylone, La statue de Zeus à Olympie, le mausolée d’Halicarnasse, le temple d’Artemis à Ephèse, le phare d’Alexandrie, le colosse de Rhodes… telles sont les sept merveilles du monde antique. Et si vous êtes un amoureux d’Histoire Antique, que ne donneriez vous pas pour y faire un tour, ne serait-ce que quelques dizaines de minutes ? Et bien, c’est possible ! lire la suite »

Tout le monde connait la silhouette caractéristique du légionnaire romain classique, arborant toujours fièrement un cingulum de cuir clouté à sa ceinture. Pour autant… tel n’a pas toujours été le cas, tel ne sera pas toujours le cas… Mais alors, à quoi sert donc ce tablier, et pourquoi est-il là ? lire la suite »

Tout le monde sait que l’âge d’or de l’armure de plates complète est le début du 16ème siècle, avec des pièces parfois extraordinaires dont nous avons déjà eu l’occasion de parler à plusieurs reprises. Toute la chevalerie est équipée, et bon nombre de piétons, arquebusiers et piquiers en sont dotés. La cuirasse est omniprésente sur tous les champs de bataille… lire la suite »

Vous êtes vous déjà demandés où les reconstituteurs présents sur les plages de Normandie trouvent les armes qu »ils utilisent ? Certains ont des pièces d’origine, démilitarisées bien sûr, mais ce n’est pas le cas le plus fréquent. Il existe aujourd’hui de très belles reproductions, avec des mécanismes d’armement fonctionnels, comme pour les vraies, mais qui ne peuvent pas tirer, même à blanc. lire la suite »

En fait, pas si nouveau que ça… Ceux qui faisaient déjà de la reconstitution historique il y a 15 ou 20 ans se souviennent sans doute du magazine VIVRE L’HISTOIRE, qui était sorti en kiosque sur un peu plus d’une dizaine de numéros, conçu et écrit par des reconstituteurs, pour des reconstituteurs. Malheureusement, cette expérience trop brève était restée sans suite pendant de nombreuses années. Aujourd’hui, c’est donc avec un très grand plaisir que nous assistons à la renaissance de cette revue qui intéressera tous les reconstituteurs que nous sommes. lire la suite »

Nous vous avons annoncé il y a quelques mois la sortie du premier tome d’une série de quatre ouvrages consacrés aux spectacles de l’amphithéâtre romain. Ce premier tome s’intitulait : « Gladiateurs, chasseurs et condamnés à mort ; Le spectacle du sang. » Ce premier livre s’intéressait au déroulé des différents spectacles. Depuis le 6 novembre est disponible en librairie le second volume, sous le titre : « Devenir gladiateur ; La vie quotidienne à l’école de la mort. » L’auteur aborde ici l’intimité des combattants des arènes, depuis leur entrée à la caserne, jusqu’à leur fin de carrière. lire la suite »

Avez vous entendu parler de Ragnar Lodbrok, et de sa femme Lagertha ? Bien sur que oui… Ragnar est, dans la tradition nordique, le premier chef de guerre a avoir porté le fer et le feu en Angleterre, et celui qui a conduit le sur le monastère de Lindisfarne, qui marque en 793 le début de l’âge Viking. lire la suite »

Tout reconstituteur le sait : porter une armure sur sa tunique est une très mauvaise idée… à la fois parce que le frottement du métal finira inévitablement par blesser son porteur et parce que rien ne viendra amortir les impacts des coups de l’adversaire. lire la suite »

On pense généralement que le spangenhelm est un casque apparu au Moyen-Âge. Si l’appellation date a peu près de cette époque en effet, en revanche l’origine de ce casque est beaucoup plus ancienne. Le mot provient de l’allemand est désigne les casques composites faits de bandes métalliques (spangen), en fer, bronze ou laiton, servant de cadre à la fixation de plaques plus ou moins embouties, au nombre de 4, 6 ou plus. Généralement, cette protection de tête adopte une forme conique ou ogivale, souvent terminée par une pointe sommitale, mais elle peut-être hémisphérique. lire la suite »

A part pour les hommes du génie, les fantassins français ne vont connaître que des shakos ou képis jusqu’en 1915. Au début de la Grande guerre, l’armée française est encore coiffée du képi à bandeau bleu foncé et turban rouge. Il devient bleu horizon quand cette couleur se généralise. Mais dans cette nouvelle guerre aux moyens de destruction jamais vus, les ravages observés sur les combattants vont inciter en 1915 le commandement à doter tous les soldats d’un casque en acier, connu sous le nom de « Adrian », du nom de son commanditaire, le sous-intendant Adrian. lire la suite »