Armae

La Première guerre mondiale fait rage en Europe depuis près de 3 ans, mais les Etats-Unis gardent leur neutralité (en approvisionnant toutefois les pays de l’Entente), malgré des groupes de pression qui militent pour leur entrée dans le conflit aux côtés des Alliés. Il faut dire qu’un Américain sur quatre est né à l’étranger, ou a des parents originaires d’un des deux blocs protagonistes… Le président Wilson espère toujours que la paix puisse se faire par la négociation. Mais les provocations allemandes vont précipiter sa décision. Les Etats-Unis entrent en guerre le 6 avril 1917. lire la suite »

Le Musée de St Romain en Gal est situé à l’extrême pointe Sud du département du Rhône, dans une région réputée depuis l’antiquité pour ses grands crus et qui correspond aujourd’hui à la prestigieuse appelation Côte Rôtie. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait choisi d’axer certaines de ses animations sur le thème de la vigne et du vin, avec la reconstitution d’un vignoble, de deux pressoirs à levier, et l’organisation chaque année depuis  2005 d’une cérémonie des vendanges, prélude à un foulage et pressurage comme au temps jadis.

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Pour toutes les personnes qui s’intéressent à la gladiature, reconstituteurs, historiens, ou simples curieux qui s’interrogent sur ce fantasme paradoxal que représentent ces combattants volontaires, adulés (pour les meilleurs du moins) comme nos stars du foot ou de la chanson, mais pourtant taxés d’infamie, qui venaient chercher la célébrité et la fortune, mais qui pouvaient également trouver la mort et la fosse commune au bout du voyage, nous conseillons la lecture d’un nouveau forum qui leur est consacré. lire la suite »

Dans la famille de la reconstitution, voici un diorama réalisé à l’échelle 1/6ème représente une partie de tranchée durant la première guerre mondiale, l’ensemble étant plus vaste. Les figurines sont essentiellement de bases « sideshow » pour les vêtements divers et « dragon » pour les personnages. L’équipement est refait suivant les impératifs portés à l’époque pour mieux correspondre à la réalité puis patiné et sali de façon à être plus authentique et en adéquation avec le décor.

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Depuis l’étude H. Russel Robinson, au milieu des années 70, il semble que les casques romains n’ont plus de secret pour nous. Il n’en est rien. La classification que ce chercheur de renom a mise en place est aujourd’hui largement dépassée, en raison du nombre de nouvelles découvertes répertoriées depuis plus de trente ans. Son appellation « impérial-gaulois », attachée depuis aux casques en fer du Haut-Empire, peut être aujourd’hui remplacée par celle de « Weisenau ». Ce site éponyme, près de Mayence en Allemagne, est en effet célèbre grâce à un très beau casque mis à jour (photo ci-contre issue du Roman Army Talk). lire la suite »

Exemple de déplacement en colonne par deux à cheval suivant le règlement de cavalerie US « cooks cavalry tactics » en vigueur depuis la guerre civile jusqu’ aux guerres indiennes. Celui-ci prévoit de se déplacer en ligne, colonne, de front et les charges ainsi que l’école du maniements d ‘armes à cheval, comme peut en témoigner l ‘auteur de ces lignes qui est allé aux USA pour l ‘apprendre et pouvoir le mettre en pratique en France lors de reconstitutions…

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Il y a encore peu d’années, la reconstitution historique était regardée avec amusement ou méfiance. Les reconstituteurs étaient souvent perçus comme de « doux dingues », passant leurs dimanches à se « déguiser ». Les temps changent heureusement, et l’Histoire Vivante gagne ses lettres de noblesse grâce au travail de recherche et de restitution soignée de certaines troupes. La reconstitution historique est devenue une auxiliaire reconnue de l’étude historique et archéologique, notamment sur les périodes reculées de notre histoire. Elle permet en effet de mieux comprendre la vie des temps anciens dans son quotidien, en revivant dans les mêmes conditions, avec les mêmes costumes et le même armement que ceux qui les portèrent.

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Copyrigth H Glot / Centre de l'Imaginaire Arthurien

Le chateau de Comper-en-Brocéliande accueille depuis plus de 20 ans le Centre de l’Imaginaire Arthurien, qui, comme son nom le laisse penser, se consacre à mieux faire connaître la légende arthurienne. 

Avec un site magnifique, au sein de la forêt de Brocéliande et au bord du lac de la fée Viviane, l’association s’attache à mettre en avant toutes les oeuvres, anciennes ou modernes, littéraires ou artistiques, consacrées aux légendes de la table ronde.

Cette mise en valeur prend la forme d’expositions et de conférences, mais aussi d’évocations saisissantes, qu’il s’agisse de visites commentées et animées de la forêt, de spectacles historiques, ou encore de rallyes ou de jeux.

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Lorsque l’on aime l’Histoire, il existe plusieurs façons de l’aborder. Certains résumeront leur engouement par la lecture d’ouvrages spécialisés. D’autres feront de la reconstitution historique ou du wargame. D’autres encore se plongeront dans la figurine, l’illustration ou la peinture. Mais le plus souvent il s’agira d’une combinaison de plusieurs disciplines, seul moyen pour la plupart de vivre pleinement sa passion. C’est le cas de l’Italien Giuseppe Rava, qui très tôt se découvre une intérêt dévorant pour l’histoire et les uniformes, mais aussi pour la peinture militaire, dont les maîtres sont les Français Edouard Detaille, Ernest Meissonier ou encore Alphonse de Neuville. Il décide de suivre leurs traces…

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