Quel reconstituteur passionné d’antiquité n’a pas vu la série Rome ? D’accord, il y a quelques invraisemblances… comme les antécédents de Titus Pollo, les casques des légionnaires ou le fait que les enseignes de la XIVème se font barboter en plein milieu du camp, mais bon… lire la suite »
Si fabriquer soi-même un bouclier plat, voir cintré, est relativement facile (et encore, faut-il s’entendre sur la question du mode de fabrication : historique ou non), la réalisation d’un bouclier lenticulaire est nettement plus technique et compliqué. Qu’est ce qu’un bouclier lenticulaire ? Tout simplement un bouclier en forme de lentille optique, de forme convexe (ou concave si vous le retournez), bref, une sorte de couvercle de poubelle bombé… lire la suite »
Bon, on triche un peu il est vrai sur la chronologie. C’était bien un 2 décembre, mais en 1805. Mais c’est la magie de la reconstitution que de pouvoir remonter le temps et de revivre un moment exceptionnel. Il est encore trop tôt pour vous montrer l’événement cuvée 2014, aussi, en quelques images trouvées sur internet (merci à tous les photographes talentueux qui savent immortaliser ces moments extraordinaires), voici quelques vues des reconstitutions des années passées. lire la suite »
On ne présente plus Viollet-le-Duc, Eugène de son prénom et architecte de son état. Né à Paris à l’heure du déclin de l’Empire, en 1814, dans un milieu très versé dans les Arts : son père étant conservateur des résidences royales à l’intendance générale de la liste civile sous Louis Philippe, et sa mère, fille de l’architecte Delécluze, tenant un salon fort couru à l’époque. Toute la famille loge au palais des Tuileries (merci Papa !). Bref, le jeune Eugène est entouré par le beau et en fait sa vocation. Des voyages au Mont St-Michel et en Italie vont décider de sa profession. Il sera architecte, et nous pouvons aussi le voir comme un reconstituteur avant l’heure. lire la suite »
Comme vous le savez, ce blog est consacré à la reconstitution, et donc au passé. Mais quand le passé devient « fantastique », voire futuriste, cela peut donner un résultat intéressant, en tout cas, totalement déjanté. Nous ne résistons pas au plaisir de vous faire découvrir le travail fou du photographe français Sacha Goldberger. lire la suite »
Murena – Dufaux et Delaby
Quel passionné d’une époque n’a pas rêvé de pouvoir la visiter, ne serait-ce que quelques minutes, juste pour voir ? La reconstitution historique est une excellente solution, mais elle nécessite tout de même un sacré travail et sacré investissement… Alors, que diriez vous de vous plonger dans des BD historiques ? lire la suite »
Voila un titre bien aguichant… qui n’est autre que le thème que le musée de Saint Romain en Gal avait choisi pour animer ses collections ce 9 novembre 2014. Et pour ce faire, quoi de mieux que d’inviter des reconstituteurs pour rendre la chose plus vivante ? lire la suite »
Lorsque l’on parle de la reconstitution romaine, on pense immédiatement à nos amis anglais qui ont initié le mouvement il y a une trentaine d’année, puis notre esprit se porte vers les groupes allemands ou français. On oublie plus facilement (par ignorance de leur existence surtout) ce qui se fait en Europe de l’Est, voir plus loin. Savez-vous par exemple qu’il existe une « légion » romaine, la Xe, en Russie ? Aujourd’hui, nous vous présentons la XXIe RAPAX polonaise, qui prend aujourd’hui une belle place dans le Reenactment antique. lire la suite »
Le char Renault FT17 est sans doute le blindé allié qui s’est avéré le plus efficace du premier conflit mondial. Près de 4000 exemplaires vont sortir des usines de Billancourt, 950 seront fabriqués sous licence aux Etats-Unis, une centaine en Italie, une centaine en Russie… et notre histoire raconte celle de l’un d’entre eux, qui a parcouru pas loin de 12000km en un siècle ! lire la suite »
Souvent, c’est le simple attrait qu’exerce la beauté d’un costume ou d’un uniforme qui décide du choix d’une reconstitution. Si chacun a bien sûr ses périodes de prédilection, reconnaissons dans l’ensemble que le premier Empire a sans doute gagné le pompon en la matière (sans mauvais jeu de mot). Les couleurs, les dorures, les effets de matières, les panaches et plumets ont fait des uniformes napoléoniens parmi les plus appréciés des passionnés d’histoire, comme en témoigne aussi le nombre de reconstituteurs de cette époque à travers le monde. Aujourd’hui, voyons pour le plaisir des yeux un uniforme de capitaine du corps de l’artillerie à cheval de la Garde. lire la suite »